quelques lettres sans plus, sans chichis qu'ils disent, faut pas parler trop fort
tu déranges et puis arrête donc de penser il vaudrait mieux que tu t'encâdre un peu
fait de moi un muffin au chocolat que tout le monde aimera,
pour que j'entre dans les idées de tout le monde
que ma parole soit celle d'un autre
que tout ce que j'éclate sois les pièces du miroir d'un endroit commun
vécu d'un trop plein d'abus, trop de viols étatiques que je dis, alors on vous dit «taisez-vous voyons tout ce fracas est impoli et d'une violence inouïe, n'essayer pas la vie est bien ce qu'elle doit rester Polisson » un tout petit poisson que je me suis dit, un poisson qui se noie dans ses propres eaux.
Les poissons d'une mer qui dormait depuis bien trop longtemps
désolé pour le dérangement, mais pas vraiment.
Le jour une mer aura tout engloutie
seul les poissons seront en état de survivre.
«Moi? moi monsieur farouche! vous trouvez? et bien c'est que j'ai envie de mieux et non de quelque chose d'autre, fini la baise libérée je vous fait la colère et vous jette le sort de l'écartèlement, bien en vos mérites, monsieur le «dit» plus fort.»