jeudi 28 juin 2012

Une fois, il y avait eux et moi qui ne connaissait rien à eux. Puis, il eu mes confrères, mes consœurs pour me «scotcher» les yeux bien ouverts, pour que j'y voit mon monde, plus clair. Puis, j'ai réalisée et depuis je conteste, c'est pour le mieux, c'est parce que je n'y crois plus,  que je continue, parce qu'autour de moi, on me sort tous les clichées médiatiques inimaginables, donc je vomis d'indignation et je pisse sur l'état, mais je vous assure, c'est parce que j'ai un énorme respect pour ce qui m'entoure que je continue. Je ne crois plus à l'avenir de l'humanité, sous cette angle droit et ces formes géométriques étatique.s Laissez-moi, avec eux, tous ensembles on vas y arriver, je vous assure que tout ira bien et beaucoup mieux, si vous y croyez, même un tout petit peu, avec nous.

mardi 19 juin 2012


                                                                                             E
Les étoiles étiolées vendent un temps à coups modique

Contrecarrer      le    mercantilisme    étoilé

est voué à la perte.

Je saigne

Coule à flot, les étoiles m’ont laissées tomber

De haut,  je  souffre d’un sang, d’une blessure

D’Encre.

L’encre me pénètre, m’assaille ouvrant mes plaîes

Les laissant béantes, se putréfier.

L’encre vicieuse me tatou, laissée pour déglinguée

Semi-morte  sur le quai un crayon feutre teinte mon visage qui est

Sans      nez       et      sans      lèvres.

Toute effacée, je ne respire plus

Dans la noirceur je censure ma blessure de sang d'encre.



« Les bateaux arrivent !»     , un abordage me viole



Comme à une mouche à qui on aurait arrachée les deux pattes et mouillée les ailes, je souffre ancrée dans la proue .

ne reste plus que de mon Coeur, un reste de boisée à l’essence de rose.

C’est le pirate Maboule qui m’a prise en premier, je souffrais d’une douce violence.

Frôlant ma plaie, il m’a ensemencée.

Doucement j’halète, j’ai fini, ils m’ont fini

Je suis un autre déchet à la mer, mon encre se répand dans les flots, la mer est souillée

J’intoxique les poisons.

Je tue tout autour               et        me           noie    étouffée  dans   mon  sang  d’encre.
Stephen harper 3 ans
NON NON NON

casseroles maskoutaine
mots et images qui corrèlent

jeudi 14 juin 2012

que ces inconnus
partent avec ma peau, me laissant nu comme un vers. Qu'ils partent loin dans un monde plus beau, que je soit laissé derrière bouffé par les chenilles en croissances.

les casseroles imaginaires de Saint-hyacinthe
Ça cling clang clong, du fin fond du rang aux boute du rang. C'est le sons dérangeant de l'indignation.

problème intestinaux